Dans un article du Parisien, le
cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann nous apprend que
plusieurs études internationales prouvent que des rapports sexuels
réguliers protègent contre certaines maladies.
Les effets secondaires de la sexualité
sont, pourrait-on dire, plutôt alléchants. Diminution du stress, de
l’anxiété, recul de la dépression, et réduction des risques de
développer des maladies cardio-vasculaires.
Chez la femme, une hormone,
l’ocytocine, libérée pendant les rapports sexuels, a un effet
protecteur contre le cancer du sein.
Chez l’homme, de régulières
éjaculations permettent un nettoyage de la prostate par évacuation
des carcinogènes qui s’y accumulent.
L’activité sexuelle, qui s’apparente
à une activité sportive, est excellente pour le cœur – en le
musclant notamment –, mais aussi pour la ligne, car « un bon
rapport sexuel fait perdre environ 200 calories, soit l’équivalent
de vingt minutes de course à pied ». L’activité
sexuelle permet aussi d’éliminer les toxines, d’activer
la circulation sanguine, de mieux irriguer la peau et donc d’avoir
bonne mine. Elle améliore la qualité du sommeil, conséquence en
ayant par ricochet une autre, celle de favoriser également la santé
cardiaque. Ce n’est pas tout : l’activité sexuelle favorise
la sécrétion de testostérone, celle-ci ayant pour effet
d’entretenir les muscles ; et, toujours d’après le docteur
Frédéric Saldmann, « une activité sexuelle soutenue limite
la formation de plaques d’athérosclérose sur les artères ».
Enfin, le professeur David Weeks, de
l’hôpital d’Edimbourg, au terme d’une étude sur 3500
personnes de 18 à 102 ans, conclut que « trois rapports sexuels par
semaine permettent d’allonger la durée de vie de dix ans ».
Désormais, lorsqu’on rencontre une
femme, on peut non pas demander si elle veut bien qu’on lui offre
un verre, mais si elle accepte de nous aider à lutter contre le
stress, les maladies cardio-vasculaires, et le cancer du sein.
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