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lundi 10 septembre 2012

Définition : féminisme, féministe(s)

Féminisme : Mot faisant la synthèse d’un grand nombre de défauts que l’on a réussi à faire passer pour des qualités, voire pour des vertus – miracle de la modernité et de l’illusionnisme –, afin que ceux le critiquant soient vus comme des individus peu recommandables.
Le féminisme, sorte de tapis sous lequel on cache la poussière, offre la possibilité aux harpies manquant de lumière, mais pas de prétention, de se hausser du col.
Mais le féminisme est avant tout l’une des armes idéologiques utilisées par la finance pour détruire le patriarcat, et dans son prolongement la civilisation et la spiritualité, afin que règne la société de consommation.

Féministe : Femme castratrice, infantilisante, hystérique, et despotique, qui prétend vouloir libérer les femmes de l’ordre ancien sans voir qu’elle aide les promoteurs de l’ordre nouveau à les asservir et à les dépraver comme jamais.
Ce mot sert à désigner celles qu’on appelait autrefois – les slogans en moins – des mégères.
Une féministe est une sorte de poule à dents aboyeuse dont l’hypotrophie des capacités de raisonnement est compensée par une hypertrophie de l’orgueil. Sa particularité, face à un représentant du sexe opposé, est de lui aboyer dessus si il ne se soumet pas à sa manipulation dont l’objectif est d’en faire un caniche castré culpabilisé et terrorisé, que l’on rencontre sous diverses formes : chanteur dans le vent, journaliste, humaniste égalitariste, enseignant, étudiant, socialiste, etc.
Le mot féministe sert également à désigner les hommes qui se rangent aux cotés des femmes féministes et aiment les flatter, comme on porte un chapeau à plumes pour se faire voir, ou comme on utilise des leurres pour attirer le gibier, afin de récolter la sympathie des femmes en général et peut-être quelques avantages en nature, ce qui est en grande partie le but recherché.
Le féministe est une sorte de coq poule. Sa particularité est de faire croire aux féministes femelles qu’il est différent des hommes du passé si mal vus – alors qu’il est « pire », selon les critères des féministes femelles –, afin de se faire bien voir des femmes pour obtenir ce que vous savez, et pour montrer au système financier qu’il se soumet intégralement à lui.
L’observateur averti verra que sa manière de procéder est au fond identique à celles des hommes que les féministes femelles disent détester, qu’il voit les femmes comme les hommes que les féministes femelles disent détester les voient, à la différence qu’il a su empaqueter tout ça dans les attitudes morales bien vues du moment. Ainsi peut perdurer la règle selon laquelle à ce jeu là les plus comédiens, les plus faux et les plus vils, sont ceux qui s’en sortent le mieux.



Dranem, Proserpine.

Georges Milton, C'est pour mon papa.



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