Pour être heureux, il faut savoir s’émerveiller de la feuille morte qui tremble sur sa tige, hésitant à se détacher de son arbre, puis se lance dans le vide, à l’aventure, dans l’inconnu, tournoyant dans l’air frémissant d’un douillet après-midi d’automne… jusque dans la crotte de chien qui trône sur le trottoir.
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